Découvrez votre type de procrastination selon l'état actuel de la science

Tu as des idées, mais tu remets souvent à demain ?

En 5–7 minutes, ce test te révèle ton type de procrastinateur et te donne un plan d’action personnalisé validé par la psychologie (TCC/ACT), les neurosciences de l’attention et la théorie de l’autodétermination.

Résultat : tu comprends pourquoi tu bloques… et comment passer à l’action dès aujourd’hui.

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Lorsque vous avez un projet important à démarrer, quelle est votre réaction la plus fréquente ? *

- A. Je ressens le besoin que tout soit parfaitement planifié et sous contrôle avant de commencer, sinon je préfère attendre.

- B. J’ai souvent une nouvelle idée plus enthousiasmante qui me détourne du projet initial, du coup je remets le démarrage à plus tard.

- C. J’éprouve d’emblée une anxiété en pensant à ce projet et j’ai tendance à procrastiner parce que j’angoisse sur tout ce qui pourrait mal tourner.

- D. Honnêtement, je n’arrive pas à m’y mettre car j’ai peur de ne pas être à la hauteur ou de ce que ce projet pourrait impliquer pour moi.

- E. Je sens en moi une petite voix de résistance : je le ferai, oui, mais à ma façon et quand moi j’aurai décidé, pas quand on me l’impose.

- F. Je me retrouve souvent en train de faire plein d’autres petites choses (ranger mon espace, répondre à des messages…) au lieu de commencer ce projet.

- G. Je ne sais pas par quel bout prendre ce projet, j’ai tellement de choses en cours que je suis un peu perdu sur comment démarrer.

Face aux délais et échéances, quel comportement vous correspond le mieux ? *

- A. Je commence très tôt et je planifie minutieusement, mais il m’arrive de ne pas finir dans les temps car je veux toujours peaufiner.

- B. Je suis d’abord très motivé par l’objectif, puis d’autres projets viennent me distraire en cours de route, et j’ai du mal à tenir l’échéance initiale.

- C. Plus l’échéance approche, plus je stresse et je bloque : j’ai tendance soit à fuir la tâche jusqu’au dernier moment, soit à paniquer à l’approche de la date limite.

- D. Franchement, les échéances ont tendance à me paralyser : parfois je laisse passer des opportunités (candidatures, inscriptions) parce que j’ai trop peur de mal faire dans le temps imparti.

- E. J’avoue avoir du mal avec les délais qu’on m’impose : il m’arrive de rendre en retard exprès ou de me dire « s’il voulait que ce soit fait à l’heure, il n’avait qu’à me le demander plus tôt ». Je fonctionne pas mal dans l’urgence finale.

- F. Les deadlines, je les note, mais comme je suis toujours sur 10 choses à la fois, je me retrouve souvent à improviser à la dernière minute parce que j’ai été absorbé par plein d’autres urgences entre-temps.

- G. Il m’arrive de rater des échéances tout simplement parce que j’en avais trop en même temps et que je m’y suis pris trop tard faute d’organisation.

Quand vous procrastinez, qu’avez-vous tendance à faire à la place de la tâche repoussée ? *

- A. Je me plonge dans des activités “utiles” annexes : je relis des documents de référence, je réorganise mes dossiers ou mon planning, bref je reste dans le périmètre du projet sans attaquer le cœur.

- B. Je rêve à d’autres projets plus excitants, je passe sur Internet à chercher de l’inspiration, ou je commence carrément autre chose qui me passionne davantage sur le moment.

- C. Je cherche à me rassurer : par exemple je vais regarder une série ou manger un bout pour calmer mon angoisse, ou je fais une sieste parce que ce que j’ai à faire me stresse trop.

- D. Honnêtement… je fais autre chose pour ne pas penser à cette tâche qui me fait peur. Je peux jouer aux jeux vidéo, traîner sur les réseaux ou n’importe quelle distraction qui m’empêche de cogiter sur mes insécurités.

- E. Je fais souvent tout sauf ce qu’on attend de moi : par exemple, si mon boss attend un rapport, je vais bosser sur mon side project perso à la place, par principe. Ou je prends du temps pour moi, pour montrer que je ne suis pas esclave de mes obligations.

- F. Je remplis mes journées de mille micro-tâches : répondre à des mails, aider quelqu’un sur un dossier à lui, ranger le bureau, consulter plein d’infos… Je suis très occupé mais j’évite la tâche principale sans m’en rendre compte.

- G. Je tente souvent de faire un peu de tout en même temps, et finalement je n’avance sur rien de significatif. Ou bien, débordé, je finis par me réfugier dans une activité qui me vide la tête (scroll sur le téléphone, etc.) faute de savoir par quoi commencer.

Quelle phrase vous dites-vous le plus souvent pour justifier un report de tâche ? *

- A. « Je reprendrai ça demain, quand ce sera vraiment au top. »

- B. « Je manque de feeling/inspiration maintenant, j’y reviendrai quand j’aurai le déclic. »

- C. « Je ne le sens pas là tout de suite, vaut mieux attendre un moment plus propice sinon je vais faire n’importe quoi. »

- D. « Je suis bien comme je suis, si je voulais vraiment je pourrais le faire… (donc c’est pas grave si je ne le fais pas maintenant). »

- E. « Je le ferai à ma manière et quand j’aurai décidé, ce n’est pas à [une tierce personne] de me dire quand le faire. »

- F. « J’ai un gros coup de bourre sur plein de trucs, je le ferai dès que ça se calme un peu. »

- G. « Je ne m’en occupe pas tout de suite parce que j’ai trop d’autres priorités, on verra plus tard. »

Si vous deviez analyser la cause principale de votre procrastination, laquelle vous correspond le mieux ? *

A. J’ai tendance à procrastiner parce que je veux tellement bien faire que je me mets des barrières tout seul.

B. Je procrastine par ennui ou inconstance : dès qu’une tâche manque de nouveauté, ma motivation chute et je passe à autre chose.

C. Honnêtement, c’est l’inquiétude : je stresse à l’avance et du coup je bloque au lieu d’agir.

D. Je crois que c’est un problème de confiance en moi : j’ai peur de me planter ou d’être jugé, du coup je préfère éviter.

E. Je dirais que c’est parce que j’ai un problème avec l’autorité ou les contraintes : j’aime faire les choses à ma façon, pas parce qu’on m’y oblige.

F. Je suis submergé au quotidien, je cours partout ; je procrastine sans le vouloir, par manque de temps réel pour tout faire.

G. C’est surtout un manque d’organisation de ma part, je l’avoue. Je ne sais pas gérer mes priorités et du coup je m’y perds.

Laquelle de ces descriptions se rapproche le plus de votre façon d’être ? *

A. “Exigeant(e) envers moi-même, je préfère ne rien faire plutôt que de bâcler, quitte à ce que ça me bloque.”

B. “Créatif(ve) et touche-à-tout, j’ai du mal à aller au bout de mes innombrables idées.”

C. “Préoccupé(e) et prudent(e), j’ai tendance à imaginer le pire, ce qui m’empêche d’agir aussi vite que je le voudrais.”

D. “Réservé(e) ou en manque de confiance, je n’ose pas sortir de ma zone de confort de peur de l’échec ou même de la réussite.”

E. “Indépendant(e) dans l’âme, j’avance selon mes règles, quitte à défier les délais ou attentes extérieures.”

F. “Hyperactif(ve) et connecté(e), je fais mille choses mais j’oublie parfois l’essentiel, ce qui me joue des tours.”

G. “Débordé(e) par les tâches, j’aimerais m’organiser mieux car actuellement je m’y prends trop tard, faute de méthode.”